Pour Newsweek, Nicolas Sarkozy est le symbole de l'extrême droite
Pour illustrer un sujet sur la montée de l'extrême droite en Europe, le magazine américain Newsweek (dans sa version européenne) a choisi de mettre en couverture une photo de Nicolas Sarkozy, rapporte LeMonde.fr.
Le journaliste, Denis Macshane écrit selon LeMonde.fr, que Nicolas Sarkozy "à la recherche d'un coup de fouet populiste pour retrouver son aura politique", a "lancé une campagne de violentes accusations et d'expulsions forcées contre la minorité rom".
Une de Newsweek du 4 octobre (édition européenne)
"Pauvre France" regrette Laurent Bourgeois sur Twitter. "Les media étrangers sont au moins plus lucides qu'ici" selon SkyNebula.
"Abus?" demande MedOnline. "Newsweek a fortement envie de vendre du papier", estime quant à lui LeVolontaire
Début septembre, c'était l'hebdo anglais The Economist qui s'était payé Nicolas Sarkozy, en titrant: "L'incroyable président qui rétrécit".
Le 16 septembre, suite aux critiques de Viviane Reding, la commissaire européenne luxembourgeoise, la presse européenne avait taclé le président de la République. Pour le quotidien polonais Gazeta Wyborcza, "La France s'était déshonorée".
Idem au lendemain du sommet européen de Bruxelles, le 17 septembre. The Guardian estimait que "la France méritait d'être boutée hors de l'Union". Pour le Frankfurter Allegemeine Zeitung, qualifait Sarkozy "d'opportuniste sous la lumière des projecteurs".
Sources : LeMonde.fr
Par La rédaction du Post
Pour illustrer un sujet sur la montée de l'extrême droite en Europe, le magazine américain Newsweek (dans sa version européenne) a choisi de mettre en couverture une photo de Nicolas Sarkozy, rapporte LeMonde.fr.
Le journaliste, Denis Macshane écrit selon LeMonde.fr, que Nicolas Sarkozy "à la recherche d'un coup de fouet populiste pour retrouver son aura politique", a "lancé une campagne de violentes accusations et d'expulsions forcées contre la minorité rom".
Une de Newsweek du 4 octobre (édition européenne)
"Pauvre France" regrette Laurent Bourgeois sur Twitter. "Les media étrangers sont au moins plus lucides qu'ici" selon SkyNebula.
"Abus?" demande MedOnline. "Newsweek a fortement envie de vendre du papier", estime quant à lui LeVolontaire
Début septembre, c'était l'hebdo anglais The Economist qui s'était payé Nicolas Sarkozy, en titrant: "L'incroyable président qui rétrécit".
Le 16 septembre, suite aux critiques de Viviane Reding, la commissaire européenne luxembourgeoise, la presse européenne avait taclé le président de la République. Pour le quotidien polonais Gazeta Wyborcza, "La France s'était déshonorée".
Idem au lendemain du sommet européen de Bruxelles, le 17 septembre. The Guardian estimait que "la France méritait d'être boutée hors de l'Union". Pour le Frankfurter Allegemeine Zeitung, qualifait Sarkozy "d'opportuniste sous la lumière des projecteurs".
Sources : LeMonde.fr
Par La rédaction du Post
