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L'ex-président afghan nommé à la tête du conseil de la paix

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L'ex-président afghan nommé à la tête du conseil de la paix

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L'ancien chef de l'Etat afghan Burhanuddin Rabbani a été désigné dimanche pour présider le conseil chargé d'entamer des négociations de paix avec les rebelles taliban, rapporte un responsable.


Rabbani est un dignitaire religieux comme de nombreux dirigeants islamistes et est d'origine tadjike comme de nombreux opposants aux taliban.

Ancien chef du puissant parti des moudjahidines durant l'occupation soviétique dans les années 80, Rabbani a servi comme chef d'Etat au cours de la décennie suivante lorsque les factions de combattants se livrèrent une guerre qui conduisit à la prise du pouvoir par les taliban.

Il est ensuite devenu le chef de file d'une alliance réunissant les différentes factions afghanes qui, avec l'appui des Etats-Unis, ont renversé les taliban pachtounes en novembre 2001.

Alors que la guerre va entrer dans sa dixième année, le président Hamid Karzaï a obtenu en juin dernier l'accord d'une réunion tribale pour constituer un Haut conseil de la paix chargé de mener les négociations.

Ce conseil composé de 68 membres a désigné dimanche Rabbani, homme d'expérience disposant de nombreux contacts, au poste de président.

"Les Afghans doivent maintenant se tendre la main pour consolider une paix durable en Afghanistan", a déclaré Rabbani devant les membres du conseil dans une déclaration rendue publique par le service de presse d'Hamid Karzaï.

La première mesure que Rabbani va devoir mettre en place est un processus de négociation acceptable par tous les autres membres du conseil dominé par les anciens chefs des factions et d'anciens membres des taliban.

Les taliban ont a plusieurs reprises affirmé qu'ils ne s'engageront pas dans une négociation tant que les troupes de l'Otan seront présentes dans le pays.

Sayed Salahuddin; Pierre Sérisier pour le service français

http://fr.news.yahoo.com/4/20101010/twl-afghanistan-conseil-41953f5_1.html

https://afghanfrancophones.forumactif.com

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Afghanistan: Hamid Karzaï confirme des pourparlers informels avec les talibans

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Le président afghan Hamid Karzaï a confirmé à CNN que son gouvernement avait engagé "depuis un certain temps" des discussions informelles avec les Talibans pour tenter de restaurer la paix dans le pays.


Des discussions officieuses ont eu lieu avec des représentants des talibans sur une longue période, a déclaré Hamid Karzaï lors d'une interview pour le "Larry King Live" qui devait être diffusée lundi.

"Nous avons parlé aux talibans de compatriote à compatriote", a expliqué le président afghan. Il ne s'agit pas, a-t-il expliqué, d'un "contact officiel régulier avec des Talibans à une adresse fixe, mais plutôt des contacts personnels officieux qui ont eu lieu depuis un certain temps".

Le porte-parole de la présidence afghane Waheed Omar avait confié précédemment que le gouvernement afghan avait été en contact au cours des "deux dernières années" avec "différents niveaux des talibans afghans voulant se renouer des relations avec le gouvernement". AP

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Offres du Conseil de la paix afghan aux taliban, Ryad sollicité

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Le "Haut Conseil de la paix" afghan mis sur pied par le président Hamid Karzaï pour favoriser une réconciliation avec les taliban s'est dit jeudi prêt à leur faire des concessions et a sollicité l'intercession de l'Arabie saoudite.

Mais le Conseil, qui se veut indépendant et moins rigide que l'administration de Kaboul dans ses ouvertures envers les insurgés, a repris à son compte son exigence, appuyée par Washington, qu'ils renoncent à la violence.

Les incitations offertes aux combattants islamistes pour qu'ils déposent les armes comprennent emplois, logements et argent, a déclaré Qiyamuddin Kashaf, porte-parole du conseil, qui compte 70 membres.

Un ancien chef de l'Etat afghan, Burhannudin Rabbani, dirige cette instance dont la composition a été approuvée cette année par une jirga (assemblée traditionnelle afghane) et qui, selon le président Karzaï, a élaboré un "mécanisme" pour faciliter la réconciliation.

Qiyamuddin Kashaf a précisé que ce mécanisme prenait la forme d'une feuille de route pour entamer des négociations avec la guérilla islamiste centrées sur le souci d'offrir à ses combattants une "porte de sortie honorable" pour se réinsérer dans la société civile.

"Cette porte de sortie honorable comprend postes, maisons, salaires et honorabilité. Ils veulent des concessions et nous leur en donnerons", a-t-il précisé lors d'une conférence de presse sans vouloir fournir plus de précisions.

"Le Haut Conseil de la paix exhorte instamment l'opposition armée d'Afghanistan et ses dirigeants à abandonner la violence et à rejoindre le processus de paix", a dit Kashaf, en demandant l'aide du monde musulman et notamment du roi Abdallah d'Arabie saoudite.

SIMPLES CONTACTS?

L'Arabie a facilité les contacts entre autorités et insurgés dans le passé et Ksahaf l'a jugée qualifiée à triple titre pour s'interposer de nouveau: elle est un des trois seuls pays qui avait reconnu l'ancien régime des taliban, elle entretient de bonnes relations avec le Pakistan et elle est la gardienne des lieux saints islamiques.

La veille, Hamid Karzaï avait fait part de son optimisme quant aux perspectives de réconciliation et de paix en Afghanistan, neuf ans après le début d'un conflit souvent considéré aujourd'hui en Occident comme quasiment inextricable.

Lors d'une longue allocution prononcée de son palais présidentiel à Kaboul, Karzaï n'a toutefois fait aucune allusion aux pourparlers qui seraient en cours entre son administration et les trois principaux groupes d'insurgés, dont les taliban du mollah Omar.

Il a affirmé que son gouvernement et ses alliés étrangers oeuvraient tous à un règlement de la situation, qui pourrait advenir d'ici un à deux ans. "Les espoirs de paix en Afghanistan se sont accrus. La communauté internationale, nos voisins et tous nos compatriotes s'investissent beaucoup dans ce but."

Hamid Karzaï plaide de longue date pour un arrangement avec les taliban pourvu que ceux-ci renoncent à la violence, répudient Al Qaïda et acceptent la nouvelle Constitution afghane. Washington a formulé des conditions analogues.

La guérilla nie tout contact avec Kaboul et réclame le retrait préalable des troupes étrangères, mais le New York Times croit savoir que des pourparlers directs et sérieux pour mettre fin à la guerre ont été noués avec des chefs militaires du mouvement islamiste.

Le commandant des forces internationales en Afghanistan, le général David Petraeus, a révélé la semaine dernière que ses hommes avaient facilité le déplacement d'un haut responsable taliban à Kaboul pour des contacts "préliminaires" en vue d'une éventuelle réconciliation.

Mais Richard Holbrooke, représentant spécial des Etats-Unis pour l'Afghanistan et le Pakistan, a jugé exagérées les rumeurs de pourparlers secrets entre les deux camps. "Il y a bien des contacts mais on ne peut les qualifier de pourparlers", dit-on de source proche de l'opposition afghane au Pakistan.

Marc Delteil pour le service français, édité par Gilles Trequesser

http://fr.news.yahoo.com/4/20101021/twl-afghanistan-paix-conseil-41953f5_2.html

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Le président afghan optimiste sur la réconciliation et la paix

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Le président Hamid Karzaï a fait part mercredi de son optimisme quant aux perspectives de réconciliation et de paix en Afghanistan, neuf ans après le début d'un conflit souvent considéré aujourd'hui en Occident comme quasiment inextricable.

Lors d'une longue allocution prononcée de son palais présidentiel à Kaboul, Karzaï n'a cependant fait aucune allusion aux pourparlers qui seraient en cours entre son administration et les trois principaux groupes d'insurgés, dont les taliban du mollah Omar.

Il a affirmé que son gouvernement et ses alliés étrangers oeuvraient tous à un règlement de la situation, qui pourrait advenir selon lui d'ici un à deux ans. "Les espoirs de paix en Afghanistan se sont accrus. La communauté internationale, nos voisins et tous nos compatriotes s'investissent beaucoup dans ce but."

Faisant apparemment référence au Pakistan et à l'Iran, qui se disent soucieux de favoriser un règlement en Afghanistan, Karzaï a ajouté: "Nous sommes en contact avec nos voisins, afin qu'ils reprennent ce processus à leur compte."

"Nous avons tous espoir que nous assisterons à une amélioration de la sécurité et de la stabilité de notre pays d'ici une année ou deux, comparé à ce que nous avons connu hier et aujourd'hui."

DES "POURPARLERS DIRECTS ET SÉRIEUX"?

Pourtant, la violence en Afghanistan atteint à l'heure actuelle un niveau sans précédent depuis l'intervention internationale et le renversement du régime de taliban fin 2001, en dépit de la présence sur le terrain de près de 150.000 soldats étrangers.

Ces derniers, en majorité américains, sont placés sous commandement de l'Otan, qui doit se réunir au sommet le mois prochain à Lisbonne pour faire le point de la situation, tandis que le président Barack Obama procédera en décembre à une nouvelle évaluation de la stratégie des Etats-Unis sur le terrain.

Le chef de la Maison blanche a décidé fin 2009 de dépêcher 30.000 hommes de plus en Afghanistan pour renverser le cours de la guerre, tout en annonçant l'amorce d'un retrait militaire à compter de la mi-2011 si les forces afghanes s'avèrent en mesure de commencer à prendre elles-mêmes en main la sécurité du pays.

Karzaï plaide de longue date pour un arrangement avec les taliban pourvu que ceux-ci renoncent à la violence, répudient Al Qaïda et acceptent la nouvelle constitution afghane. Washington a formulé des conditions analogues.

La guérilla nie tout contact avec Kaboul et réclame le retrait préalable des troupes étrangères, mais le New York Times croit savoir que des pourparlers directs et sérieux pour mettre fin à la guerre ont été noués avec des chefs militaires du mouvement islamiste.

"DE SIMPLES CONTACTS, PAS DES POURPARLERS"?

Le quotidien américain précise que des membres de la Choura (conseil) de Quetta, ville du Pakistan ou siège cette instance de direction des taliban, et un représentant du réseau Haqqani, autre groupe insurgé actif dans l'est de l'Afghanistan, avaient participé à ces contacts.

Le commandant des forces internationales en Afghanistan, le général David Petraeus, a révélé la semaine dernière que ses hommes avaient facilité le déplacement d'un haut responsable taliban à Kaboul pour des contacts "préliminaires" en vue d'une éventuelle réconciliation.

Richard Holbrooke, le représentant spécial des Etats-Unis pour l'Afghanistan et le Pakistan, a déclaré néanmoins que les informations sur des pourparlers secrets entre les deux camps étaient exagérées.

De source proche de l'opposition afghane au Pakistan, on souligne pareillement qu'on ne doit pas brûler les étapes : "Il y a bien des contacts mais on ne peut les qualifier de pourparlers."

Karzaï, qui a mis sur pied un Conseil de paix de 70 membres dirigé par l'ancien président Burhanuddin Rabbani pour faciliter le processus de réconciliation, a déclaré la semaine dernière que cette instance avait élaboré un "mécanisme" à cette fin qui serait mis en branle sous peu.

Marc Delteil, pour le service français, édité par Guy Kerivel

http://fr.news.yahoo.com/4/20101020/twl-afghanistan-paix-41953f5_1.html

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Discussions secrètes entre Karzaï et des talibans, selon un ex-officiel afghan

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Trois responsables talibans ont rencontré en secret le président afghan Hamid Karzaï il y a deux semaines, dans le cadre des efforts de Kaboul en vue de se débarasser du pire ennemi actuel du gouvernement et de la coalition internationale, le réseau Haqqani, considéré comme proche d'Al-Qaïda, selon un ancien responsable afghan.

La réunion, dont l'existence a été confirmée par un responsable occidental sous couvert de l'anonymat, s'est tenue à Kaboul. Y participaient le maulvi Abdul Kabir, gouverneur de la province de Nangarhar du temps du régime taliban et actuel chef du conseil taliban de Peshawar, recherché par les Américains; son bras droit de l'époque Sedre Azam; ainsi qu'Anwar-ul-Haq Mujahed, chef taliban emprisonné depuis juin au Pakistan, et qui aurait aidé Oussama Ben Laden à fuir lors de l'assaut des forces américaines sur Tora Bora en 2001, selon le responsable afghan.

Le réseau Haqqani, toujours commandé par le vieux Jalaluddine Haqqani mais dirigé dans les faits par son fils Sirajuddine, est considéré comme responsable de la plupart des attaques contre les forces américaines dans l'est afghan. Il est jugé proche d'Al-Qaïda, dont il hébergerait le numéro deux, l'Egyptien Ayman al-Zawahri.

Les interlocuteurs secrets de Karzaï ont été amenés par hélicoptère de Peshawar, au Pakistan, et ont passé deux nuits dans un hôtel sous très haute sécurité à Kaboul.

Selon l'ex-responsable afghan, ces hommes sont des contacts de "moyen degré", car n'ayant guère d'influence sur les conseils talibans (choura) les plus influents, ceux de Quetta et du Waziristan, qui dirigent la majorité des combattants talibans d'Afghanistan et sont supervisées par le mollah Omar.

Mais, analyse-t-il, Washington et Kaboul chercheraient à capitaliser sur la position de Kabir au sein de la puissante tribu des Zadran, forte de quelque 500.000 personnes, qui domine les trois provinces de l'est afghan, et à laquelle appartiennent tant Kabir que les Haqqani.

C'est des Zadran que le vieux Jalaluddine Haqqani a tiré son pouvoir depuis l'époque de la guerre contre les Soviétiques, et en se rapprochant de Kabir, Washington et Kaboul comptent diviser la tribu et affaiblir les Haqqani.

L'AP a obtenu confirmation de la participation de Kabir à des réunion avec le gouvernement de Kaboul auprès de quatre sources indépendantes.

Mujahed est quant à lui le fils du maulvi Younis Khalis, fondateur d'une branche du Hizb-i-Islami. Le père fut l'un de ceux qui aidèrent Ben Laden à quitter le Soudan pour s'installer en Afghanistan en 1996. Le fils, qui a repris le contrôle du mouvement pour combattre les forces étrangères, aurait lui aidé le chef d'Al-Qaïda à s'échapper vers le Pakistan. AP

http://fr.news.yahoo.com/3/20101031/twl-afghanistan-talibans-fcd69a8_1.html

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Le mollah Omar menace les talibans prêts à négocier
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Selon des sources internes, des notes vraisemblablement signées par le chef taliban Mohammed Omar ont été distribuées dans des mosquées dans la région pachtoune du Pakistan, menaçant de mort tous les talibans qui auraient l'intention de négocier un arrêt des combats avec le gouvernement.

Ces lettres pourraient être une tentative des responsables talibans pour faire taire les rumeurs selon lesquelles leurs rangs sont divisés. Ils ont également nié toute prise de contact ou négociation avec le gouvernement afghan. Le président Hamid Karzaï a fait de la "réconciliation" une de ses priorités et ainsi mis sur pied un Haut Conseil de la paix, composé de 70 membres, chargé de trouver une solution politique à l'insurrection talibane. Au même moment, la coalition menée par les Etats-Unis tente de forcer le commandement intermédiaire à venir s'asseoir à la table des négociations. Pour l'instant, aucun progrès n'a été enregistré, ni du côté afghan, ni du côté américain.

PAS DE NÉGOCIATIONS OFFICIELLES

Un vétéran taliban qui s'est récemment rendu à un conseil dans la ville pakistanaise de Quetta, contrôlée par le mollah Omar, a rapporté qu'il n'y avait aucune négociation en cours. Selon ses dires, les lettres signées "Omar" distribuées dans les mosquées sont apparues peu après que M. Karzaï a annoncé sa volonté d'engager des pourparlers de paix, par le biais d'un message diffusé à la radio. "Nous l'avons entendu", a confirmé cette source.

Même si les hauts responsables talibans n'ont effectivement participé à aucune discussion, un certain nombre de contacts ont été noués avec des militants ces dernières années, selon des juristes, des délégués du Haut Conseil pour la paix et les talibans eux-mêmes. Les pourparlers ont eu lieu en Arabie saoudite, dans les Emirats arabes unis et en Afghanistan, a précisé Habibullah Fauzi, un membre du Haut Conseil, ancien "ambassadeur" des talibans en Arabie saoudite.

"Ce n'est pas parce que les talibans changent de bord qu'ils se mettent à parler, insiste M. Fauzi. Certains d'entre eux ne savent même pas s'ils peuvent rester en sécurité au Pakistan." D'autres ont tout simplement quitté les rangs des talibans, "parce qu'ils n'ont pas eu accès aux postes qu'ils convoitaient", et n'ont aucune intention de négocier avec le gouvernement.

Un membre du Parlement afghan a déclaré à AP avoir rencontré plusieurs fois Aga Jan Mohtasim, membre du conseil taliban dans le Waziristan nord. "Ce ne sont pas des négociations officielles. Ce sont juste des talibans qui acceptent de rencontrer des personnes en lesquelles elles ont confiance", a-t-il précisé.

http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2010/11/05/le-mollah-omar-menace-les-talibans-prets-a-negocier_1435846_3216.html#ens_id=1191850

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